Freaks, la monstrueuse parade (Tod Browning)

 Le film culte de Tod Browning avec de la musique « en live »…

Un ciné-concert fantastique, original… et « monstrueux » !

Freaks est un film américain de Tod Browning sorti en 1932.

« Un film extraordinairement puissant, un grand film humaniste, un tour de force cinématographique. ». Blog Le Monde

« Le plus magnifique des hommages à la différence… Le détournement par l’horreur et ceci sans le moindre voyeurisme… Du grand art ! » www.avoir-alire.com

Le film culte de Tod Browning, à la fois terrifiant et plein de poésie, avec de vrais « phénomènes » de foire. Mais les monstres ne sont pas forcément ceux que l’on croit !

Des êtres difformes se produisent dans un célèbre cirque, afin de s’exhiber en tant que phénomènes de foire. Le liliputien Hans, fiancé à l’écuyère naine Frieda, est fasciné par la beauté de l’acrobate Cléopâtre. Apprenant que son soupirant a hérité d’une belle somme, celle-ci décide de l’épouser pour l’empoisonner ensuite avec la complicité de son amant Hercule. Mais le complot est découvert, et les amis de Hans et Frieda vont se venger… (AlloCiné)

Durée : 60 min       Attention, certaines images peuvent heurter la sensibilité des plus jeunes

Un film parlant en ciné-concert ?

Freaks est un film parlant, mais sans musique, si ce n’est les quelques extraits d’ambiance de cirque. L’occasion est donc plus qu’intéressante de re-créer une bande-son, en mélangeant les dialogues d’origines et de la musique jouée en live  !

Du piano, des claviers et des machines pour une relecture musicale personnelle, au service de ce film inclassable et hors du temps.

 

« … Sur ce canevas dense et violent, Laurent Pontoizeau tisse sa toile patiemment, créant pour chaque personnage clé une mélodie à sa mesure, dont la récurrence renforce la dramatisation de l’action.

Ni redondante ni démonstrative, sa partition accompagne le film, au sens noble d’accompagner : soutenir, rester proche, sans occuper le devant de la scène. Savoir rester dans l’ombre en sublimant la lumière… « 

J.M.Chauvière, professeur de français en Terminale L